- Album Intro
- Lyrics
- Album list
Benabar
-
Je Suis De Celles
Lyricist:Benabar、Fabrice Ravel Chapuis Composer:Benabar Arranger:Fabrice Ravel Chapuis
Tiens, qu'est-ce que tu fais la ? C'est moi, c'est Nathalie Quoi tu me reconnais pas ? Mais si
On etait ensemble au lycee C'est vrai, j'ai change J'ai des enfants, un mari Bah quoi, t'as l'air surpris
J'etais pas destinee A une vie bien rangee J'etais perdue Mon mari m'a trouvee
J'etais de celles Qui disent jamais non Les 'Marie couche-toi la' Dont on oublie le nom
J'etais pas la jolie Moi, j'etais sa copine Celle qu'on voit a peine Qu'on appelle machine
J'avais deux ans de plus Peut-etre deux ans de trop Et j'aimais les garcons Peut-etre un peu trop
Bien sur, vous aviez eu Des dizaines de conquetes Que personnes n'avaient vues Toujours pendant les fetes
Pour beaucoup d'entre vous Je suis la premiere fois De celles qui comptent Mais pas tant que ca
Je n'etais pas de celles A qui l'on fait la cour Moi, j'etais de celles Qui sont deja d'accord
Vous veniez chez moi Mais des le lendemain Vous refusiez en public De me tenir la main
Quand vous m'embrassiez A l'abri des regards Je savais pourquoi Pour pas qu'on puisse nous voir
Alors je fermais les yeux Find more lyrics at ※ Mojim.com A m'en fendre les paupieres Pendant que pour guetter Vous les gardiez ouverts
Je me repetais : ' faut pas que je m'attache ' Vous vous pensiez : ' il faut pas que ca se sache '
Mais une fois dans mes bras Vos murmures essouffles C'est a moi, rien qu'a moi Qu'ils etaient destines
Enlacee contre vous A respirer vos cheveux Je le sais, je l'affirme Vous m'aimiez un peu
Certaines tombent amoureuses C'est pur, ca les eleve Moi, je tombais amoureuse Comme on tombe d'une chaise
Et gonfles de l'avoir fait Vous donniez conference Une souris qu'on disseque Mon corps pour la science
Je nourrissais Vos blagues de caserne Que vous pensiez viriles Petits hommes des cavernes
D'avoir pour moi Un seul mot de tendresse Vous apparaissait Comme la pire des faiblesses
Vous les fiers a bras Vous parliez en experts Oubliant qu'dans mes bras
Vous faisiez moins les fiers Et les autres filles Perfides petites saintes M'auraient tondue les cheveux A une autre epoque
Celles qui ont l'habitude Qu'on les cajole Ignorent la solitude Que rien ne console
Vous veniez chez moi Mais des le lendemain Vous refusiez en public De me tenir la main.
-
|